Dans la semaine du 10 au 16 juillet 2017, une nouvelle exposition : Fred Foret, au Centre Pompidou.
Visiter aussi les grandes expositions récentes, les spectaculaires et les autres...
Prenez le temps d’éplucher ce programme si riche dans lequel nous vous conseillons les plus belles expositions de Paris, les meilleures du moment, et les plus originales.
Urgent !!! Prenez aussi vos dispositions pour ne pas rater celles que vous souhaitiez voir... et qui fermeront leurs portes dans les toutes prochaines semaines !!!
Et si, par ailleurs, vous êtes aussi curieux de connaître le programme sur l’ensemble de l’année, sachez que notre Calendrier 2017 fait déjà référence... et que celui de 2016... a, quant à lui, reçu plus de 372 000 visites !
Nous vous avons aussi préparé, pour les principaux musées de Paris, des articles lieu par lieu (Toutes les expositions 2017 au musée...), et nous accordons bonne place aux artistes les plus fameux des expositions passées, ou à venir.
Pour les amateurs d’escapades, quelques villes de régions ou étrangères...
Voyez aussi les collections permanentes : Nouvelle Présentation des Collections contemporaines, à Pompidou, à Orsay et toutes les autres importantes, au MAMVP, à Cluny, aux Arts-et-Métiers, à la Cité de l’Immigration...
Restez vigilants. Le prochain 1er Dimanche du mois, jour où l’accès aux collections permanentes des musées publics (et bien sûr municipaux) est libre et gratuit, est le 2 Juillet !
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Une nouvelle exposition dans la semaine du 10 au 16 juillet 2017 :
- Du 12 juillet au 28 août 2017. Fred Forest, au Centre Pompidou. Forum, Niveau -1.
La rétrospective-événement sur un grand couturier qui fut galeriste. 300 modèles présentés, dans un dialogue avec de grands moments de l’histoire de l’art.
- Du 28 juin au 27 août 2017. Mémoire et lumière, photographie japonaise 1950-2000, la donation Dai Nippon Printing, à la Maison européenne de la photographie.
Les grandes étapes de la réception de Mozart et de sa reconnaissance par le public français : fascination, d’abord, pour la précocité de l’enfant prodige ; adaptation, ensuite, de ses œuvres au goût français ; célébration, enfin, d’un génie musical à nul autre pareil. L’accent est mis sur ses principaux opéras à travers une sélection de maquettes de costumes, d’esquisses de décors et de photos de scènes issues des productions les plus emblématiques, du XIXe siècle à nos jours.
- À partir du 21 juin 2017. Réouverture de l’Hôtel d’Heidelbach, une des dépendances du musée Guimet, au 19 de l’avenue d’Iéna. Collection de mobilier chinois, et exposition temporaire de la collection Ise de porcelaine chinoise. À terme le rez de chaussée de l’Hôtel accueillera la collection de textiles du musée. Le jardin japonais ouvrira au printemps 2018.
Pour expérimenter les émotions que procureraient quelque 200 œuvres du peintre... en dimensions XXL.
- Du 23 juin au 17 septembre 2017. Hélène Delprat : "I Did It my Way", à la Maison rouge.
Inspirée par la littérature, le cinéma, les databases d’Internet, la radio, la presse, Hélène développe au travers d’une pratique quotidienne une sorte de Livre d’Heures grinçant où se mêlent fiction et documentaire. Ses interviews vraies ou fausses, ses dessins radiophoniques, ses peintures, ses vidéos et ses collections d’articles complètent cette inventaire d’un monde fait de hasard et de programmation.
Une large sélection des images iconiques de son œuvre photographique : celles de Paris des années 1950, des personnes captées pendant ses voyages et dans sa ville natale d’Amsterdam au cours des décennies suivantes, mais aussi ses livres, des extraits de ses films et de ses diaporamas, plus spécialement Eye Love You et Tokyo Symphony.
Van der Elsken photographie et filme ses sujets dans des situations souvent théâtrales et se comporte en metteur en scène, engageant le dialogue avec les personnes qu’il photographie. Il aime provoquer, inciter les gens à accentuer la personnalité qu’il décèle en eux.
La compagnie "Théâtre du mouvement" a joué un rôle majeur dans l’émergence d’un mime contemporain. L’exposition se propose de reconstituer une démarche artistique à l’esthétique singulière qui fait appel à des techniques diverses et n’hésite pas à dialoguer avec la danse, la marionnette, le théâtre, le théâtre non verbal ou le nouveau cirque.
Une sélection de grands portraits de Cézanne, portraits très particuliers, qui se répondent et révèlent sans doute une facette primordiale de cet artiste, personnelle et humaine, relativement peu mise en avant jusqu’à présent : paires complémentaires, série d’un même sujet, développement chronologique, évolutions de style et de méthode, balancements de la ressemblance à l’identité.
- Du 14 juin au 11 septembre 2017. Steven Pippin, au Centre Pompidou, Galerie de photographies, Niveau -1.
- Du 14 juin au 11 septembre 2017. Hervé Fischer, au Centre Pompidou. Galerie du musée, Niveau 4.
- Du 14 juin au 10 septembre 2017. Saison Histoires naturelles, au Palais de Tokyo, avec :
+ Dioramas, une histoire déconstruite du regard, source d’inspiration inattendue des artistes contemporains.
+ Le Rêve des formes : art, sciences, etc. Une exploration du dialogue ininterrompu, mais truffée d’accidents, entre art et sciences.
+ Et aussi Hayoun Kwon, Gareth Nyandoro, Taloi Havini, Wilfrid Almendra.
Balthus, Les Beaux jours (1944-1946). Hirshhorn Museum and Sculpture Garden, Smithsonian Institution, Washington, DC, Gift of the Joseph H. Hirshhorn Foundation, 1966 Photography by Lee Stalsworth
200 œuvres pour convaincre que, bien au-delà d’une admiration réciproque et d’une véritable affection dont ils témoigneront tout au long de leur propre vie, c’est une profonde communauté esthétique qui réunissait ces trois-là.
Conçue par le néo-zélandais Te Papa Tongarewa Museum, l’exposition met en lumière ses très riches collections de jade, et les liens existant entre cette pierre aux vertus magiques et le peuple maori.
La bibliothèque, la nuit devient une machine à rêves. Grâce à la réalité virtuelle, cette exposition propose un voyage onirique dans le temps et dans le monde, qui mène de Sarajevo à Mexico et d’Alexandrie jusqu’au fond des océans. Invité à vivre une expérience d’immersion muséale et scénographique, le visiteur, au moyen de lunettes vidéo 3D, parcourt une forêt de dix bibliothèques réelles ou imaginaires.
Quand les plasticiens s’emparent de l’orfèvrerie : Meret Oppenheim, Man Ray, Calder, Dali, Picasso, et même Fabrice Gygi et Thomas Hirschhorn.
- Du 10 mai au 28 août 2017. Ross Lovegrove, au Centre Pompidou. Galerie 3.
Créateur de la coque de l’iMac et des baladeurs du Walkman de Sony : le designer gallois Lovegrove, fondateur, en 1986 à Londres, du studio Lovegrove et Brown, puis du Studio X.
Simulacre / Guy Roger Janda / Lycéen / Français / Évry / Déc. 2016
- À partir du 3 mai 2017. Collections modernes 1905-1965. Nouvelles présentations, au Centre Pompidou. Niveau 5.
- Du 25 avril au 27 août 2017. Sciences pour tous. 1850-1900, à la BnF, site Mitterrand. Allée Julien Cain.
Astronomie, médecine, sciences naturelles, chimie, aéronautique... Au cours de la deuxième moitié du XIXe siècle, toutes les disciplines scientifiques sont mises en valeur et popularisées. Si elle trouve ses racines dans le courant des Lumières, la vulgarisation scientifique prend toute son ampleur environ un siècle plus tard, alors que se développe la croyance dans le progrès et l’instruction.
"Les Initiés" (1989-2009), réunit un choix d’œuvres de la collection d’art contemporain africain de Jean Pigozzi, élaborée sous les conseils d’André Magnin. /// "Être là", une exposition collective d’artistes consacrée à l’Afrique du Sud, une des scènes les plus dynamiques du continent africain aujourd’hui. /// La présentation d’œuvres de la Collection liées à l’Afrique, mais incluant aussi des artistes travaillant ailleurs que chez eux ainsi que des artistes afro-américains.
La rétrospective retrace, de ses premières photographies de la fin des années 1920 jusqu’aux polaroids des années 1970, la totalité de sa carrière à travers plus de 300 tirages vintages provenant des plus grandes collections internationales.
Dalida est une icône de la mode. Look pulpeux, fifties, swinging London, acidulé, théâtral... elle ne laissait rien au hasard, et les couturiers l’aimaient. Habillée par les plus grands à la ville comme à la scène, en haute couture ou en prêt-à-porter, la miss Égypte à la plastique explosive devient Dalida et fait un tabac à Bobino avec Bambino. Taille marquée, hanche et poitrine moulées, épaule dégagée, chute de reins, tout est vertigineux chez elle.
Robes New Look Carven des années 50, fourreau rouge incendiaire façon Hollywood par Jean Dessès, sobre et chic en Azzaro, robe chasuble du Balmain sixties, costumes paillettes et disco par Michel Fresnay dans les années 1970, classique et indémodable en Saint Laurent, elle a tout osé, tout porté.
L’automobile façonne le paysage et permet l’exploration de nouveaux horizons. Elle a aussi bouleversé notre conception spatio-temporelle, offrant un nouveau paradigme à la photographie. Cette exposition rassemble un montage des extraits mythiques de l’histoire du cinéma ainsi que quelque 400 œuvres de photographes historiques et contemporains sur le sujet : Jacques-Henri Lartigue, Ed Ruscha, Lee Friedlander, Jacqueline Hassink...
Entre 1915 et 1937, tandis qu’il partage sa vie avec Olga Khokhlova, danseuse des Ballets russes, Picasso réalise des œuvres majeures, issues notamment de sa période classique.
Avec près de 200 œuvres et 80 images d’archives, cette exposition laisse découvrir cet extraordinaire destin d’Olga et la métamorphose que le peintre fera subir à son modèle au fil de l’évolution de leurs relations conjugales.
Carte blanche à Anselm Kiefer qui investira la salle d’exposition et la cour du musée, provoquant la rencontre de ces deux démiurges, pétris de liberté et affranchis des contingences artistiques.
Attirés par l’accident, disponibles au hasard, ils exploitent tous les domaines, manipulent les matières, et s’autorisent nouveaux agencements et mutations audacieuses.
Mêlant le ciment rodinien aux reliques de sa propre vie et à d’autres matériaux inattendus, Anselm Kiefer réalise des vitrines inédites, et sous le verre, l’artiste guette l’étincelle de ses métamorphoses.
Si Kiefer et Rodin se jouent des supports, ils usent des techniques pour digérer l’héritage du passé et célébrer leur culte commun du travail au travers d’une même quête, celle de la vérité, jamais embellie.
- Du 1er mars au 27 août 2017. Game. Une histoire du jeu vidéo, à la Fondation EdF.
45 ans de conquête pour une industrie qui ne manque pas d’appétit.
Berceau de l’humanité, pourvoyeur pour les autres continents de force de travail, d’or et de matières premières depuis des millénaires, l’Afrique a une
histoire inscrite dans la dynamique internationale. Panorama d’un continent au carrefour des mondes, et bien à contre-courant des idées reçues.
Non sans prudence, erreurs, tâtonnements, mais aussi génie, la BD s’est emparée de la Shoah. Interrogation ici des sources visuelles de ces représentations, de leur pertinence, leur portée et leurs limites (humour, satire).
- Du 19 avril 2016 au 20 août 2017. Bébés animaux, à la Cité des sciences. Éléphanteau, poussin, ou delphineau, cette exposition pour les tout-petits (2 à 7 ans) fait découvrir le monde de 73 espèces, de leur naissance à leur autonomie. À faire debout ou à quatre pattes !
De toutes les capitales du monde, Paris reste celle dont la vie culturelle est la plus bouillonnante et multiple : davantage de films, d’expositions, de musées, de galeries, et dans des gammes plus larges.
Londres, Berlin, Rome, Madrid, New York et Tokyo font pourtant leur possible… tandis que Shanghai, Pékin, Singapour, et maintenant Doha, montent progressivement en puissance, et que les villes suisses, plus proches de nous, jouissent toujours de la présence de grandes fondations... et d’une tranquillité réputée.
Nous nous efforçons de tenir ces articles à jour, et nous vous remercions des suggestions, précisions, ajouts et corrections que vous pourriez être amenés à apporter à ces programmes.
Contre l’actualité artistique qui chasse ce que l’on se croyait capable de retenir, les catalogues d’expositions peuvent avoir, quand ils sont faits avec exigence, un rôle certain à jouer. Nous établissons, au fur et à mesure de leur publication, notre sélection des catalogues d’expositions 2017 de Paris, comme nous l’avons fait les années précédentes : 2016,2015,2014,2013,2012.